EXHIBITIONS

Ville Générative, Cernes


Ville Générative, Cernes / /exposition dans la vitrine d'Indice 50


La Ville Générative se perçoit comme une doublure de l'espace existant dotée d'une bonne réduction du sérieux. Procédant d'une répétition du même, dépourvue de toute perturbation et de tout imprévu, tout y semble se dérouler de la même manière, à l'image d'un spectacle permanent n'ayant ni début ni fin, sans intrigue et sans histoire.
"La variété ne peut pas être ennuyeuse. L'ennui ne peut pas être varié. Mais l'infinie variété de la Ville Générique n'est pas loin, c'est le moins que l'on puisse dire, de rendre la variété normale, banalisée ; contre toute attente, c'est la répétition qui est devenue inhabituelle et, partant, potentiellement audacieuse et passionnante". (Rem Koolhaas, Junkspace, p. 73, Ed. Payot, 2011)

Décompilation


Décompilation / /exposition collective à La Passerelle


Un décompilateur est un outil qui permet de reconstituer le code source d’un logiciel.Cette exposition ira aux sources de la création en permettant à qui veut de s'appuyer sur une documentation choisie d'images et de textes.Le but étant de raccrocher l'art à la vie en précisant le contexte d'élaboration.

Martin Mouchicourt, Marine Semeria, Julie Maquet, Enzo Mianes, Charles Coturel, El Medhi Largo, -h-, Fleuryfontaine, Marie de Geuser.

Une exposition proposée par la galerie-partagée, du 23 septembre - 19 octobre 2016 - La Passerelle, Paris, 4 Place Jussieu, UMPC.



Ithaac n° 0


ITHAAC n°0 / / publication


ITHAAC N° 0 – Janvier/Février/Mars 2014 « Ligne de fuite »
Publication trimestrielle limitée et numérotée à 300 exemplaires. 52 pages.
Couverture de Lohengrin Papadato. 10 euros.
Sommaire :
– Alexandra Roger : Lignes, spirale ou labyrinthe, vers quelle fuite ?
– Thomas Anquetin : En passant
– Ainsi Parlait Maitre Salkind : Les Univers Parallèles
– Lohengrin Papadato : Entretien avec Yan Bernard
– Marine Combes : Question de point de vue
– Antoine Philias : Satori à Ouessant
– Thomas Vincent Nobletz : Caca

Ainsi que des illustrations de François Baglin, Fred Liverdon, Romaric Fargetton, Stefan Tulépo, Jean-Baptiste André, Marie de Geuser, Alice Schneider, Perrine Clément.

Démons et Merveilles


Démons et Merveilles / /exposition collective à la Galerie Thébault


Dans le cadre de l’exposition, Alexandra Roger et Aranaud Vérin interrogent à travers un dispositif proche du cabinet de curiosités la valeur intrinsèque de l’objet d’art. À partir d’une scénographie singulière dans laquelle des œuvres hétérogènes cohabitent et se confrontent, les artistes invitent les spectateurs à se questionner sur la valeur travail d’une œuvre et sa plus-value artistique.Commissaires de l’exposition et artistes exposants, Alexandra Roger et Arnaud Vérin ont invité 16 plasticiens à participer à la constitution de ce cabinet : Zenn Al Charif, Charlotte Agricole, Elodie Brémaud, Charles Coturel, Quentin Debenest, Marie de Geuser, Clémence de Montgolfier, Sophie Gaucher, Michael Gauthier Julie Gayral, Benjamin Jaud, Niki Korth, Quentin Lannes, Ronan Le Creurer, Émilie Thibaudeau et David Robert.

Galerie Thébault, 23 rue du Maine, Bazouges-la-Pérouse

Jeux sous influences


Jeux sous influence / /exposition collective à la Galerie A


Exposition proposée par l'association Ctrl+a


Galerie A, 2 Gr Grande Rue, 49190 Denée

Le Royaume et l'Exil


Le Royaume et l'Exil / / Premier volet : L'Urbanité des médiums / / exposition collective à la Galerie Backslash


Une proposition de Christophe Le Gac, architecte dplg


BACKSLASH Gallery, 29 rue Notre-Dame de Nazareth, 75003 Paris

e.d.n.a


E.D.N.A / / exposition collective dans des appartements de la ville d'Angers


La baie vitrée de Benjamin incite au regard et à la contemplation d’un paysage urbain, un point de vue unique. Le dessin sur ce support permet à l’imagination de s’étendre un peu plus. Les bâtiments et édifices choisis pour ce projet incarnent, d’une certaine manière, la ville moderne et induisent la congestion permanente d’une architecture verticale. A l’inverse des grandes images panoramiques, la skyline ici n’existe pas. L’un des objectifs du processus était de déplacer le rôle du point de vue, de saturer un espace encore vierge, celui du ciel. La projection quand à elle est un moyen de suggérer la ville fantasme. Il s’agit ici d’un transfert de l’extérieur vers l’intérieur, d’une ville rêvée à une métropole représentée, tout cela vu de la rue.

Une proposition de l'association Ctrl+a


Our house in the mid(...)


Our House in the Middle of our Street / / exposition collective à la Maison des Arts de Malakoff


25 mai - 17 juillet 2011
Avec : Véronique Boudier, Katia Bourdarel, Olaf Breuning, Mathieu Cailotto, Luisa Caldwell, Liv Carlé Mortensen, Isabelle Cornaro, Alain Declercq, Marie de Geuser, Florence Doléac, Nathalie Elemento, Ethan Hayes-Chute, Helmut Grill, Lise Harlev, Sigalit Landau, P. Nicolas Ledoux, Claude Lévêque, Mathieu Mercier, Annette Messager, Eléonore de Montesquiou, Hans Op de Beeck, Lucy Orta, Paulette Phillips, Jean-Pierre Raynaud, Torbjorn Rodland, Jeanne Susplugas, Rémi Uchéda, Atelier Van Lieshout, Erwin Wurm, Duncan Wylie, Brigitte Zieger

Sur une invitation de Jeanne Susplugas

Nombreux sont les artistes qui s’intéressent aux espaces en général, à la maison en particulier. Cet espace que l’on habite et qui fait des hommes une espèce à part – l’abri devient habitat. La maison devient le prolongement du corps et le lieu de tous nos états. L’homme s’identifie au lieu qu’il habite, miroir de nos émotions, nos angoisses. Ne dit-on pas d’ailleurs notre « intérieur »
Identification qui se traduit à travers nos tics de langage : face à un danger imminent il y a « péril en la demeure » ; dans la confusion on ne sait plus « où on habite »… Les limites du corps se confondent alors avec les limites spatiales du logement. Lieu de protection, d’enfermement, d’aliénation, de peur, de fantasmes, représentation du pouvoir… autant d’aspects que les artistes questionnent à travers de riches oeuvres aux média très divers.

Déclinaison


Déclinaison / / exposition personnelle à l'Ile Moulins'S'art


Le projet présenté au Centre d’art de l’île MoulinSart est une pièce réalisée in-situ, où l’environnement est mis au service du dessin. Sur quatre panneaux disposés en file indienne, les paysages urbains se chevauchent pour former une nouvelle ville projetée sur les rives, vierges de toute construction. Le contraste naît entre ces deux oppositions : nature et environnement intact face à une terre congestionnée d’architecture, réalité des villes occidentales actuelles. Les paysages urbains se déclinent ainsi sur quatre niveaux, partant des simples lotissements régionaux aux imposants gratte-ciel américains.

LCDD


Le Contrat du Dessinateur #1 / / publication


Dans ce premier opus, Dieudonné Cartier, Marie de Geuser, Camille Tsvetoukhine - 3 jeunes artistes français - s’y côtoient simplement, frontalement, avec chacun une double page.
Christophe Le Gac, rédacteur en chef